À n’en point douter, le discours entourant l’immobilier de bureau est au mieux inquiet, et au pire apocalyptique. « Comme les bureaux ont rejoint le commerce en tant que secteur dans lequel la viabilité de nombreux actifs a été remise en question, les deux segments qui constituaient historiquement la part du lion du marché présentent actuellement un attrait limité pour de nombreux investisseurs », avançaient par exemple PwC et Urban Land Institute dans leur étude « Emerging Trends in Real Estate Europe 2024 ». Synthèse d’enquêtes et d’entretiens menés auprès plus de 1 000 professionnels de l’immobilier européen, l’étude place le bureau de centre-ville au 21e rang des classes d’actifs les plus attractives, et les parcs d’affaires au 23e rang, alors que le bureau de périphérie est la classe d’actifs la moins désirable d’Europe, au 26e et dernier rang.
