Ils s’étaient fixé un objectif. Lointain, certes, mais ambitieux. « Nous voulions franchir la barre du milliard d’euros d’actifs sous gestion en… 2027 », se remémorent à l’unisson Gautier Delabrousse-Mayoux, président d’Iroko, et Pierre-Antoine Burgala, DG, au moment de tourner définitivement la page de 2024, année au terme de laquelle cette fameuse « barre » a été dépassée par leur SCPI.
